mardi 17 décembre 2013

Thigh gap : la nouvelle mode dangereuse des ados

Des adolescentes se lancent dans une nouvelle mode, le "Thigh gap", ou, en français, "l'écart entre les cuisses". Un phénomène qui les pousse à maigrir, en dépit de leur santé. 

Chez les adolescentes, être belle signifierait être mince. Certaines se lancent aujourd'hui un nouveau défi à la mode : creuser au maximum l'écart entre leurs cuisses. Depuis le début de l'année, ce phénomène s'est accru sur les réseaux sociaux. Les jeunes filles s'échangent conseils et photos dans un seul but : agrandir l'espace qui sépare leurs jambes, lorsque leurs pieds sont joints. Une nouvelle fixette qui provient des magazines, des mannequins embellis par Photoshop et de la dictature de la minceur. Pour les médecins, la pratique est dangereuse, elle conduit les jeunes filles à la sous-nutrition.

Outre le risque de glissement vers des troubles de l'alimentation, le phénomène du Thigh gap est une aberration d'un point de vue morphologique. Pour les médecins, rien ne sert en effet de se battre contre ses cuisses si la morphologie ne le permet pas: le rapprochement des cuisses est commun chez les femmes adultes. 

Source: linternaute.com 

Que pensez-vous de cette nouvelle mode? 


dimanche 15 décembre 2013

La fin du mode "avion" sur les portables

C'était la grande nouvelle qui va changer notre vie au quotidien : la commission européenne des transports a annoncé qu'il serait désormais possible d'allumer nos téléphones portables durant les trajets en avion et peut-être bientôt de les connecter au réseau.

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

Source: vidberg.blog.lemonde.fr


jeudi 12 décembre 2013

Saint-Nicolas


Saint-Nicolas est le Patron de la Lorraine et de tous les écoliers!. On le célèbre le 6 décembre.

L'histoire de saint-Nicolas est la suivante: en 1087, un doigt de l´Évêque de Myre (Turquie), a été apporté en Lorraine. Une basilique a été édifiée pour y abriter la relique et c'est ainsi qu'est née la ville de Saint-Nicolas-de-Port (près de Nancy). La petite ville est devenue un lieu de pèlerinage important ainsi qu’une étape sur la route de Saint Jacques de Compostelle.

La légende raconte  qu’il a ressuscité trois petits enfants tués. Saint-Nicolas est d’ailleurs représenté souvent avec trois enfants à ses pieds tendant les bras vers lui.

Aujourd'hui, la fête est célébrée différemment suivant les régions. En Lorraine, La Saint-Nicolas rend visite aux enfants dans les écoles, ceux-ci reçoivent du pain d’épices, des oranges et des bonbons. Il y a de longs défilés dans les rues et le Saint passe dans chaque école où il remet à chaque enfant sage friandises et petits cadeaux. 

Saint Nicolas est souvent accompagné du Père Fouettard qui s’occupe de donner des coups de fouet aux enfants pas sages !

Source: momes.net, fandefle.com

lundi 9 décembre 2013

Un bar à chats à Paris

Un bar à chats à Paris. C’est le projet original d’une jeune Française, qui va tenter d’adapter ce concept très japonais à un public français grâce au financement participatif. 

Ces "neko-cafés", où l’on peut prendre un verre et se détendre en caressant les félins, sont très répandus au Japon. Néanmoins, ils sont encore inédits sur le continent européen.
L’établissement, qui s’intitulera simplement "Le café des chats", se situera à Paris et sera financé par le crowd-funding, une nouvelle pratique qui consiste à trouver l’argent nécessaire grâce à des dons via des sites internet servant de plateforme de diffusion et de récolte. 

Ces établissements ont la particularité d'héberger un grand nombre de chats avec lesquels les clients peuvent interagir. On en dénombre plus d’une centaine au Japon, la plupart dans les grandes villes, ce qui en fait le pays le plus friand de bars à chats. Un succès qui pourrait s’expliquer par l’impossibilité de certains Japonais à héberger des animaux chez eux. En cause : les interdictions des propriétaires ou les appartements trop petits.  

Pourtant, malgré leur popularité sur l’archipel, les neko-cafés ne sont pas originaires du Japon. Le premier bar à chats a été ouvert en 1998 à Taipei, sur l’île de Taiwan. Le concept est arrivé au Japon assez tard,. Ce concept très asiatique pourrait-il s’implanter et s’adapter à l’occident, et à la France plus particulièrement ? 

C'est l'Autriche le premier pays européen à autoriser l'ouverture d'un Cat café. Ensuite, l'Hongrie, l'Allemagne et le Royaume Uni. En Espagne, on aura aussi une Gatoteca à Madrid.

Source: lepetitjournal.com

Lisez le texte et répondez aux questions:
  1. Qu'est-ce que le financement participatif?
  2. Quel est l'objectif des Neko Cafés?
  3. Pourquoi ont-ils tellement de succès au Japon?
  4. Croyez-vous qu'on relègue le chat au rang d'un peluche?
  5. Les professionnels animaliers s'accordent à dire que le stress, l'insomnie ou l'anxiété peuvent se soigner ponctuellement sans médicament grâce au ronronnement du chat.  Êtes-vous d'accord
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samedi 7 décembre 2013

mercredi 4 décembre 2013

Tricher est un art

Simple coup d’œil sur la copie du voisin, papier roulé en boule dans la trousse, SMS... Les étudiants ne manquent pas d’imagination lorsqu’il s’agit de tricher.

70 % de jeunes auraient déjà triché à un examen selon une étude réalisée auprès de 1815 élèves.

Par simple flemme ou par manque de temps, les étudiants, de plus en plus stressés face à la montée du chômageou à la dévalorisation des diplômes, n’hésitent pas à prendre des risques croissants en dépit des sanctions sérieuses et des lourdes répercussions sur leur avenir professionnel. Des mesures qui peuvent aller jusqu’à l’interdiction d’examens pendant 5 ans, permis de conduire compris.

Lorsque l’on tape « tricher aux examens » sur un moteur de recherche, on tombe sur une déferlante de blogs, sites et forums en tout genre livrant leurs trucs et astuces pour pouvoir tricher sans se faire prendre. Tricher est un art. Avec les nouvelles technologies, tricher n’a jamais été aussi simple.


L’une des raisons de la montée de ces pratiques serait la vision que les jeunes se font des études supérieures. Celles-ci sont vues comme un moyen de réussir et non plus un apprentissage. Ainsi les étudiants n’attachent plus d’importance à la formation et à la soif de connaissance, uniquement aux résultats.

Source: paperblog.fr

Et vous? Avez-vous triché? Quelles sont vos raisons?