Affichage des articles dont le libellé est téléphone. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est téléphone. Afficher tous les articles

mercredi 17 novembre 2021

Au téléphone

Cliquez sur l'image pour faire un exercice de compréhension orale                           

vendredi 15 juin 2018

L'interdiction des portables à l'école et au collège

Le ministre de l'Éducation nationale annonce l'interdiction des portables à l'école et au collège dès la rentrée 2918. (C'est-à-dire pour les enfants jusqu'à l'âge de 15 ans ). 
Le téléphone portable ne sera finalement interdit aux enseignants, comme on en avait parlé, seulement aux élèves. "Il est important de faire une distinction entre les règles qui s'appliquent aux élèves et  celles qui s'appliquent aux adultes".

Les lycéens devront vérifier les conditions d'utilisations des téléphones portables prévues dans le règlement intérieur de leur établissement. 

L'interdiction des portables à l'école et au collège existe depuis 2010 mais aucun établissement n'arrive à faire respecter l'interdiction. La sanction peut aller de la simple remarque jusqu'à l'exclusion de l'établissement.

Les mauvais usages des élèves on les connait bien: cyber-harcèlement, addiction aux écrans, consultation de sites pornographiques, distraction en classe, envoi de petits mots par SMS, connexion aux réseaux sociaux, triche...

50% des  enfants de mois de 13 ans a un téléphone portable. Avoir un téléphone portable demande un minimum de maturité, pour comprendre et respecter les règles d'utilisation au sein de son établissement, mais aussi pour faire un bon usage, dans le respect de ses camarades et de ses professeurs.

Source: huffingtonpost.fr, notrefamille.com

Êtes-vous pour ou contre l'usage du téléphone portable au milieu scolaire? Raisonnez votre réponse.

mercredi 22 mars 2017

Le mal du XXIème siècle: les maladies liées au portable

Peut-on devenir accro à son téléphone portable ? Aujourd’hui, tout le monde ou presque possède un mobile. Être incapable de s’en séparer, paniquer à l’idée de le perdre, la nomophobie est une crainte qui touche essentiellement les jeunes.

Toujours plus connectés sur les réseaux sociaux, un monde sans téléphone portable paraît difficile à imaginer, tant ce petit appareil a envahi nos vies. Ce terme singulier, la nomophobie, contraction de « no mobile phobia » désigne la peur excessive d’être séparé de son portable. 

Dans un pays comme la France où le taux d’habitant équipé d’un mobile atteint 90% et 75 millions de cartes SIM en service – soit bien plus que la population française – il n’est pas étonnant de constater que les gens sont accros à leur portable:
  • 78% des moins de 25 ans se considèrent comme « dépendants » de leur mobile.
  • 57% des moins de 25 ans ont besoin de consulter leur portable au moins une fois par heure
  • 25% d’entre eux sont « énervés », 18% « paniqués » et 13% « stressés » à l’idée de perdre leur portable.
Au Royaume-Uni, la proportion de nomophobes chez les jeunes de 18-24 ans atteint 76%.
Une étude révèle que les Espagnols sont les Européens qui présentent la plus forte addiction au mobile, puisqu'ils sont près d'un quart (21%) à paniquer à l'idée de perdre leur téléphone portable, contre seulement 9% des Britanniques et 18% des Français.

Un phénomène qui s’est amplifié avec l’apparition des Smartphones et des forfaits illimités. En plus de permettre de communiquer à toute heure du jour et de la nuit, le Smartphone permet aussi d’écouter de la musique, prendre des photos, des vidéos, immédiatement postées sur les réseaux sociaux, avoir accès à internet, connaître les bons restaurants près de chez soi ou réserver un hôtel. Il n’y a plus d’imprévu, le portable sert à rassurer, à tout vérifier, à prendre le contrôler sur son environnement.

En France, une unité à Lyon est même spécialisée dans cette pathologie, le centre de traitement du stress et de l'anxiété. 

Le phubbing est un terme qui désigne le fait qu'une personne ignore totalement son entourage en consultant son téléphone au lieu d'échanger avec les autres. C'est probablement la dérive de l'utilisation du smartphone qui a le plus de conséquences sur la vie sociale et les liens avec les autres. 

Le syndrome des vibrations fantômes, également appelé vibranxiety ou ringxiety, est  une étrange réaction vécue par des personnes qui ont presque tout le temps l'impression que leur téléphone vibre ou sonne même lorsque ce n'est pas le cas, ce qui les pousse à consulter leurs écrans très fréquemment. 



Apparue plus récemment, la selfite correspond aux personnes qui ont le désir obsessionnel et compulsif de prendre des photos d'elles-même et de les poster sur les réseaux sociaux. Ce comportement a récemment été référencé comme un trouble mental par l'association américaine de psychiatrie, dont les analystes considèrent que ces agissements narcissiques cachent un manque d'estime de soi ou un manque affectif. 


Source: terrafemina.com, lepetitjournal.com


Lisez le texte et répondez aux questions:
  1. Comment peut-on identifier la nomophobie?
  2. Êtes-vous nomophobe?
  3. Quels sont les autres maladies liées à l'usage du portable?
  4. À votre avis, est-ce qu'on peut considérer le portable comme une nouvelle drogue?

dimanche 27 septembre 2015

La nouveau langage des jeunes

Le nouveau moyen de communication des jeunes c'est un mélange d’écrit et d’images. Ils échangent des textos bourrés de signes cabalistiques, les émoticônes, qui symbolisent visuellement leurs émotions. Mais aussi des photos avec texte et dessins associés, parfois tracés au doigt sur l’écran tactile. Ou encore des vidéos très courtes et des gifs, ces images animées.

Le smartphone, dont ils sont massivement équipés, est devenu pour eux l’équivalent du stylo. Leur activité préférée, après l’échange de SMS, consiste à prendre des photos et à les partager. C’est une déferlante. Ils délaissent Facebook au profit des réseaux sociaux et messageries instantanées dédiés à l’échange de ces images.

Ils photographient et postent tout, tout le temps, comme ils respirent. Ils sortent de chez eux, photographient leurs pieds qui marchent dans la rue. Et postent : 
 « Je vais m’acheter un croissant et je te retrouve après. »

Un SMS sans émoticône est perçu comme violent, comme s’il y avait une tension, que la personne était contrariée. Si jamais, en plus, il y a un point à la fin de la phrase, c’est que le problème est grave !


Pourquoi ce recours massif aux images dans l’expression des ados ?


Il y a bien sûr la facilité de l’outil, le smartphone, qu’ils ont toujours à la main, qui renferme tout leur univers et qui permet de prendre des photos. Cette génération baigne, depuis sa naissance, dans la culture de l’image. Elle a pu photographier très facilement dès son plus jeune âge. C’est donc devenu un mode d’expression spontané, naturel, massif, qui structure son rapport au monde.

C’est pour eux le mode d’expression le plus efficace parce qu’ils ont cette culture commune. La teneur émotionnelle du message sera immédiatement comprise par le destinataire. Les ados n’écrivent jamais « J’ai passé mon aprem à faire du volley avec les copains », ils envoient un selfie d’eux au milieu de ces copains et du terrain. C’est plus facile et plus ludique. C’est de l’image conversationnelle qui est là avant tout pour entretenir le lien et susciter une réaction.

Les parents ne comprennent rien à cette culture LOL, à ces messages remplis d’émoticônes. C’est un langage plus complexe qu’il n’y paraît, avec énormément de règles implicites, qui nécessite un apprentissage et évolue du collège au lycée. Il est aussi bien plus créatif qu’on le pense.

Source: lexpansion.lexpress.fr


Lisez le texte et répondez aux questions:
  1. Que veut dire " des signes cabalistiques"?
  2. Quelle est la fonction des émoticônes?
  3. Pourquoi les jeunes utilisent-t-ils les images au lieu des lettres?
  4. Est-ce que le langage des jeunes est le même à tout âge?

lundi 14 avril 2014

La nomophobie

Le nouveau mal du 21ème siècle: la nomophobie (contraction de no mobile phobia)  c'est-à-dire, la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile.
Voir des gens parler au téléphone dans la rue, texter au restaurant ou dans une file d'attente à la caisse du supermarché, est désormais chose tout à fait fréquente, voire normale.

Les trois quarts des 18-24 ans se disent "très angoissés" à l'idée de perdre leur téléphone mobile. Phénomène amplifié par le boom des smartphones.

Une étude récemment publiée au Québec montre que 64% des individus utilisateurs d'appareils mobiles se sentent agressés quand leur instrument de communication "vital" est loin d'eux.

Dans cette région où la technologie est importante, 50% des utilisateurs disent dormir avec leur portable. Mais leur addiction ne s'arrête pas là, puisqu'elle se prolongue jusque dans la salle de bain. 74% disent consulter leur smartphone avant de se brosser les dents. 

Cette tendance avec le temps ne va se perdre!. Au contraire, la nomophobie c'est une épidemie qui devrait continuer de progresser et de toucher de plus en plus de personnes et il n'existe ni vaccin ni traitement à ce mal... bien que cette pathologie commence à se soigner au sein de centres spécialisés (dont un à Lyon).

Voici une liste de signes qui prouvent que vous êtes accros à votre mobile:
  1. Vous êtes davantage préoccupés par votre téléphone que par les gens qui vous entourent
  2. Vous ne résistez pas à la dernière version
  3. Vous préférez texter que parler, les échanges de textos aux conversations
  4. Vous vous sentez mortifiés par l'idée que votre pile soit déchargeée et que vous ne soyez pas joignable
  5. Vous entendez votre téléphone sonner.. quand il ne sonne pas
  6. Dès que vous entendez la sonnerie de votre téléphone, vous arrêtez tout ce que vous êtes en train de faire pour vous précipiter vers votre appareil
  7. Votre téléphone et vous êtes inséparables. Sans lui, vous êtes comme dénudés
 Source: paperblog.fr, fr.canoe.ca, tempsreel.nouvelobs.com


Êtes-vous un nomophobe? Justifiez votre réponse.
Des personnes désorientées ou encore dans un état de tension quand leur smartphone est loin d’eux. Ces individus ainsi décrits sont "Nomophobes"
Lea más en http://www.paperblog.fr/6014894/la-peur-de-se-separer-de-son-telephone/#5v5m78Ehw88eJ97g.99
Des personnes désorientées ou encore dans un état de tension quand leur smartphone est loin d’eux. Ces individus ainsi décrits sont "Nomophobes".
Lea más en http://www.paperblog.fr/6014894/la-peur-de-se-separer-de-son-telephone/#5v5m78Ehw88eJ97g.99
Des personnes désorientées ou encore dans un état de tension quand leur smartphone est loin d’eux. Ces individus ainsi décrits sont "Nomophobes"
Lea más en http://www.paperblog.fr/6014894/la-peur-de-se-separer-de-son-telephone/#5v5m78Ehw88eJ97g.99
Des personnes désorientées ou encore dans un état de tension quand leur smartphone est loin d’eux. Ces individus ainsi décrits sont "Nomophobes"
Lea más en http://www.paperblog.fr/6014894/la-peur-de-se-separer-de-son-telephone/#5v5m78Ehw88eJ97g.99

dimanche 15 décembre 2013

La fin du mode "avion" sur les portables

C'était la grande nouvelle qui va changer notre vie au quotidien : la commission européenne des transports a annoncé qu'il serait désormais possible d'allumer nos téléphones portables durant les trajets en avion et peut-être bientôt de les connecter au réseau.

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

Source: vidberg.blog.lemonde.fr


mardi 13 mars 2012

Bon anniversaire, e-mail !

L'année dernière, on vient de fêter les 40 ans de l’e-mail ! Mais finalement, que savez-vous sur l’origine des courriels ? Petit retour en arrière pour découvrir les débuts de cette révolution !

C’est l’histoire de Ray Tomlinson, un ingénieur informaticien très débrouillard. Et pour cause, il décide de se simplifier la vie en créant un petit logiciel qui permet d’envoyer un message d’un ordinateur à un autre. C’est ce soir là, en 1971, que le premier e-mail est créé.

À votre avis, combien de mails ont été envoyés en 2010 ? … La réponse dans la suite de l’article !


107 000 milliards ! Pour envoyer autant d’e-mails, il faut beaucoup de personnes… Mais connais-tu leur nombre ? Les utilisateurs sont 1,88 milliards !

Les jeunes seraient moins emballés par ce mode de communication ! Il paraîtrait même qu’ils préfèreraient parler avec leurs amis via les réseaux sociaux…

Source: blog.okapi.jebouquine.com

lundi 20 avril 2009

Protégez l'environnement!

Evitez de changer de téléphone mobile trop souvent. En effet, plus de 12 millions de téléphones sont remplacés chaque année en France, mais seulement 5 % sont recyclés. Pourtant, ils sont conçus pour une durée de vie d’environ sept ans…

Alors plutôt que de vous en séparer trop rapidement et d’augmenter le volume de déchets non recyclés (sachant qu’en plus, ils sont constitués de composants toxiques pour l’environnement), distinguez-vous en gardant le vôtre pendant plusieurs années !

Source: www.mon-environnement.com

mardi 3 février 2009

Le répondeur téléphonique d'un collège

Ça vous arrive souvent de tomber sur un répondeur?. On va lire les consignes d'un répondeur un peu spécial et amusant, sans doute.

Bonjour et bienvenue dans le collège de votre enfant. Dans le but de mieux répondre à vos besoins et de vous permettre de parler à la bonne personne, veuillez écouter le menu suivant avant de faire votre sélection :

- Pour mentir au sujet de l'absence de votre enfant, faites le 1.

- Pour excuser le fait que votre enfant n'a pas fait son devoir, faites le 2.

- Pour vous plaindre de ce que nous faisons, faites le 3.

- Pour demander la démission d'un enseignant, faites le 4.

- Pour demander pourquoi vous n'avez pas reçu les documents qui étaient déjà inclus dans     votre lettre de convocation ainsi que dans les précédents bulletins qui vous ont été postés,   faites le 5.

- Si vous voulez que nous élevions votre enfant à votre place, faites le 7.

- Pour demander que votre enfant change d'enseignant pour la troisième fois cette année,     faites le 8.

- Pour vous plaindre du transport scolaire, faites le 9.
- Pour vous plaindre de la cantine, faites le 0.
- Si vous réalisez que vous êtes dans le vrai monde, et que votre enfant doit être
responsable de ses actions, de ses devoirs en classe et à la maison, et que ce n'est pas la faute de l'enseignant de votre enfant s'il ne fournit pas d'effort,......alors...vous pouvez raccrocher !

Source: francesvirtual.blogspot.com.es

Les adolescents et le téléphone

Quel usage les adolescents font-ils du téléphone? Quelles représentation en ont-ils ? Quels sont leurs correspondants habituels? Leurs sujets de conversation ? Quel problèmes cet outil pose-t-il en famille?

Le téléphone constitue pour les adolescents un formidable instrument de sociabilité. Il assure, en permanence, le lien avec les pairs (gens qui sont comme eux). Il fait partie de leur univers culturel. Un univers qui se construit d'abord avec des mots.

Ce sont très majoritairement, des "amis/copains/copines/" que l'on appelle et, tout aussi majoritairement, des amis de même sexe. Cette proposition se vérifie plus particulièrement pour les garçons encore que pour les filles. Les adolescents les plus jeunes (15 ans) -quel que soit leur sexe- appellent plus fréquemment des amis du même sexe que les adolescents plus âgés (17-18 ans).

Les personnes appelées sont généralement des camarades de lycée, mais aussi, quelquefois, des amis que l'on ne voit plus très souvent du fait de leur éloignement géographique.
Soulignons pour les filles, la place privilégiée accordée à " la meilleure amie" parmi les correspondants du même sexe.

Les autres correspondants n'occupent qu'une place mineure. Père et mère : 15% chez les garçons et 21% chez les filles ; autres membres de la famille : grands parents, cousins, cousines, : respectivement 6.5% et 4%. Quant au "petit copain" ou petite copine", il/elle est quasiment inexistante. La "petite copine" n'est citée, en effet que par 2% des garçons et le "petit copain" que par 8% des filles. On peut faire l' hypothèse, soit d'une sous-déclaration intentionnelle, soit du choix préférentiel du "face-à-face" pour la relation amoureuse.

Deux grands thèmes émergent dans les communications des adolescents : les loisirs/sortie/soirées/rendez-vous, qui représentent plus du tiers, et la scolarité près de 30%.
En semaine scolaire, environ la moitié des appels (donnés ou reçus) le sont entre le retour de classe et l'heure du dîner.

Quel que soit l'âge, les garçons semblent téléphoner moins souvent que les filles (et être appelés aussi moins souvent).
Il semble que les filles de 16 ans téléphonent le plus et les garçons de 15 ans le moins. La tendance est la même pour les communications reçues.
Alors que 62.5 % des filles admettent parler plus de 30 minutes au téléphone, 83% des garçons estiment, eux, parler moins d'une demi-heure -dont un tiers moins de 5 minutes.

Dans leur majorité, les adolescents interrogés disent aimer "beaucoup" le téléphone (un peu plus souvent les filles que les garçons). A noter toutefois que la proportion de ceux qui "n'aiment pas tellement" ou "pas du tout" n'est pas négligeable (surtout chez les garçons).

Pour environ la moitié des 140 adolescents interrogés, le téléphone est une source de tensions, voire de conflit avec les parents.

Principales vertus techniques reconnues au téléphone : sa rapidité, sa commodité. il permet de joindre, à tout instant, des correspondants éloignés -évitant cet exercice pénible- chez beaucoup d'adolescents- de l'écriture. Il permet encore d'avoir des réponses instantanées, de résoudre des problèmes urgents et importants sans délai, "le téléphone, c'est facile, simple et pratique".

Plusieurs garçons et filles ont aussi indiqué que le téléphone était un moyen de lutter contre l'ennui, de "passer le temps".

Source: adaptation d’un texte de ac-versailles.fr


Lisez le texte et répondez aux questions
  1. À qui téléphonez-vous habituellement?
  2. Chez vous,  les filles parlent-elles au téléphone plus que les garçons?
  3. Pour quelles autres activités utilisez-vous le portable?
  4. Vous croyez que vous l'utilisez d'une façon raisonnable?
  5. Avez-vous des conflits à la maison à cause du portable?