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mardi 9 octobre 2018

Les EHS

92% des Français ont un téléphone portable mais 1% des 18-24 ans n'en possède pas,  contre 44% des plus de 70 ans. Leurs raisons?: ils tiennent à leur liberté et ne veulent pas être dérangés n’importe où et n’importe quand. le prix, la tranquillité ou encore la nocivité  présumée  des ondes.


Pour certains Français, ne pas avoir de téléphone portable est presque vital : on les surnomme EHS, les « électro-hypersensibles ».
Ce sont des personnes qui affirment souffrir d’une allergie aux ondes et aux champs électromagnétiques. 


On évalue leur nombre à soixante-dix mille en France. Ils mènent une vie à peu près normale mais essaient de transformer leur lieu de vie en « zone blanche » à l’abri des antennes-relais, téléphones portables, bornes wifi… 

Les symptômes ? Grosse fatigue, troubles de la concentration et de la mémorisation, problèmes de digestion, irritabilité… Mais officiellement, l’électrosensibilité n’est pas reconnue comme maladie en France et fait l’objet de controverses.

Source: .lcf-magazine.com


Les effets de l'électrosensibilité

Lisez le texte et répondez aux questions:

1) Qui sont les EHS?
2) En avez-vous entendu parler?
3) Ce mouvement existe-t-il dans votre pays?
4) Est-ce que vous avez ressenti les effets de l'électrosensibilité?  
5) Qu'en pensez-vous? Croyez-vous que les ondes sont nuisibles pour la santé ou non?


mercredi 17 janvier 2018

Les "fake news"

Voilà une expression qui est à la mode: les "fake news". Croyez-vous à tout ce que vous lisez ou voyez sur les réseaux sociaux?. Vous avez tort. Regardez la vidéo et réfléchissez-y.


Des grand titres de la presse mondiale ont lancé des sites dédiés au démontage des "fake news" et des opérations de désinformation.

Le journal Le Monde a sorti le Décodex (une extension à greffer au navigateur) qui classe les sites Internet dans des catégories en fonction de leur fiabilité.

Un autre site créé pour lutter contre les fausses nouvelles est CrossCheck. Si vous avez une question sur un sujet, vous pouvez toujours la soumettre directement sur le site.

Bien souvent une vidéo "choc" est employée pour rendre une fausse information virale. Youtube Data Viewer est un outil d'Amnesty International qui permet de réaliser une recherche à partir de l'adresse  YouTube d'une vidéo.

Pour les photos, le site TenEye permet de vérifier si la photo est en réalité un photomontage.

Bref, lorsque l'auteur d'une information indique qu'il est important de diffuser au maximum, de faire tourner à ses contacts, méfiez-vous!. Rien que cet élément peut laisser penser à une fausse information. De même, l'auteur ajoute souvent que cette information n'est pas traitée par les médias et que l'on souhaite la dissimuler. 

Avant de partager une information, vérifiez!

Source: linternaute.com

samedi 16 décembre 2017

L'obscur business des données personnelles

Voici une vidéo de France.tv.éducation que je trouve tellement intéressante que je me permets, pour une fois, d'ajouter la transcription. Consultez le dictionnaire si vous en avez besoin parce que vous devez bien comprendre l'information apportée par la vidéo.  



Les données personnelles, qu'est-ce que c'est ?

Entres autres vos nom, âge, genre, adresse, mais aussi votre adresse IP, votre orientation sexuelle, vos problèmes de santé, préférences idéologiques, etc. Tout ce qui vous constitue en fait ! Et tout ça, vous le partagez sur Internet. Souvent sans vous en rendre compte.

C'est simple, à chaque fois que vous vous connectez à un site, des trackeurs, les fameux cookies, observent et enregistrent vos moindres faits et gestes. Vous allez lire un article sur votre site d'info favori ? Tracké ! Vous mettez une photo sur Facebook. Tracké !

Toutes ces données récoltées servent à créer des publicités ciblées qui seront adaptées à votre profil, et donc sur lesquelles vous aurez plus de chances de cliquer.

Et c'est devenu une industrie extrêmement lucrative. Le marché de données personnelles des citoyens européens s'élevait à 60 milliards en 2016 et devrait atteindre 80 milliards en 2020.

Un vrai jackpot (grand prix) pour les entreprises qui ont accès à ces données. Google, Apple, Facebook et Amazon trustent (monopolisent) 95 % du marché des données personnelles. Rien que ça !

Ce monopole sans aucune transparence commence à faire grincer des dents (enrager). En France, la CNIL, la Commission nationale de l’informatique et des libertés, a décidé, en mai 2017, d’infliger une amende de 150 000 euros à Facebook. Et ce pour avoir pisté (épier)« à leur insu les internautes, avec ou sans compte, sur des sites tiers (intermédiaires) via un cookie ».

La peine pèse peu face aux 430 milliards de dollars de Facebook en Bourse en 2017. Mais l'avenir est moins rose pour les industries des données personnelles : le nouveau règlement général européen sur la protection de la vie privée qui entrera en vigueur en 2018 devrait imposer une application beaucoup plus stricte des droits existants, avec des sanctions très lourdes, jusqu’à 20 millions d’euros ou 4 % du chiffre d’affaires.

Mais l'utilisation de ces données ne s'arrêtent pas à la publicité ciblée (dirigée à un public concret). Il y a aussi d’autres facettes pour le moins inquiétantes. Les banques ou les assurances par exemple, exploitent d'ores et déjà (dès maintenant) les données personnelles pour  déterminer leurs tarifs, selon les profils de chacun. Parmi les données prises en compte, il y a par exemple  : les mots que l'on utilise, les choses que l'on like ou les photos que l'on poste. Une autre manière de faire du business avec nos données, dont les implications sur nos vies personnelles, sont bien plus terrifiantes.

Lisez le texte et  répondez aux questions:
Est-ce qu'ils est possible de cacher ses données quand on surfe sur internet?
Qui sont les responsables de "voler" les données des internautes?
Pourquoi les données des internautes sont à l'origine d'une industrie tellement lucrative?
Est-ce qu'il n'y a pas de protection face à cette situation?
Quelles sont les conséquences de la prise de données?



mercredi 22 mars 2017

Le mal du XXIème siècle: les maladies liées au portable

Peut-on devenir accro à son téléphone portable ? Aujourd’hui, tout le monde ou presque possède un mobile. Être incapable de s’en séparer, paniquer à l’idée de le perdre, la nomophobie est une crainte qui touche essentiellement les jeunes.

Toujours plus connectés sur les réseaux sociaux, un monde sans téléphone portable paraît difficile à imaginer, tant ce petit appareil a envahi nos vies. Ce terme singulier, la nomophobie, contraction de « no mobile phobia » désigne la peur excessive d’être séparé de son portable. 

Dans un pays comme la France où le taux d’habitant équipé d’un mobile atteint 90% et 75 millions de cartes SIM en service – soit bien plus que la population française – il n’est pas étonnant de constater que les gens sont accros à leur portable:
  • 78% des moins de 25 ans se considèrent comme « dépendants » de leur mobile.
  • 57% des moins de 25 ans ont besoin de consulter leur portable au moins une fois par heure
  • 25% d’entre eux sont « énervés », 18% « paniqués » et 13% « stressés » à l’idée de perdre leur portable.
Au Royaume-Uni, la proportion de nomophobes chez les jeunes de 18-24 ans atteint 76%.
Une étude révèle que les Espagnols sont les Européens qui présentent la plus forte addiction au mobile, puisqu'ils sont près d'un quart (21%) à paniquer à l'idée de perdre leur téléphone portable, contre seulement 9% des Britanniques et 18% des Français.

Un phénomène qui s’est amplifié avec l’apparition des Smartphones et des forfaits illimités. En plus de permettre de communiquer à toute heure du jour et de la nuit, le Smartphone permet aussi d’écouter de la musique, prendre des photos, des vidéos, immédiatement postées sur les réseaux sociaux, avoir accès à internet, connaître les bons restaurants près de chez soi ou réserver un hôtel. Il n’y a plus d’imprévu, le portable sert à rassurer, à tout vérifier, à prendre le contrôler sur son environnement.

En France, une unité à Lyon est même spécialisée dans cette pathologie, le centre de traitement du stress et de l'anxiété. 

Le phubbing est un terme qui désigne le fait qu'une personne ignore totalement son entourage en consultant son téléphone au lieu d'échanger avec les autres. C'est probablement la dérive de l'utilisation du smartphone qui a le plus de conséquences sur la vie sociale et les liens avec les autres. 

Le syndrome des vibrations fantômes, également appelé vibranxiety ou ringxiety, est  une étrange réaction vécue par des personnes qui ont presque tout le temps l'impression que leur téléphone vibre ou sonne même lorsque ce n'est pas le cas, ce qui les pousse à consulter leurs écrans très fréquemment. 



Apparue plus récemment, la selfite correspond aux personnes qui ont le désir obsessionnel et compulsif de prendre des photos d'elles-même et de les poster sur les réseaux sociaux. Ce comportement a récemment été référencé comme un trouble mental par l'association américaine de psychiatrie, dont les analystes considèrent que ces agissements narcissiques cachent un manque d'estime de soi ou un manque affectif. 


Source: terrafemina.com, lepetitjournal.com


Lisez le texte et répondez aux questions:
  1. Comment peut-on identifier la nomophobie?
  2. Êtes-vous nomophobe?
  3. Quels sont les autres maladies liées à l'usage du portable?
  4. À votre avis, est-ce qu'on peut considérer le portable comme une nouvelle drogue?

mardi 14 mars 2017

Comprendre une infographie sur les nouvelles technologies

Quatre Français sur cinq utilisent chaque mois au moins un réseau social, Facebook, YouTube et Twitter arrivant en tête des audiences.

Au quotidien, ce sont 26,5 millions de Français qui se connectent à au moins un réseau social, une généralisation qui joue un rôle prépondérant dans la circulation des contenus (articles, vidéos).
Ils sont 84% à lire des articles partagés par leurs proches pour s'informer et 49% à regarder des vidéos partagées par leurs amis.

La consultation des réseaux sociaux se fait principalement sur smartphone, avec lesquels près de 15 millions de personnes se connectent à Facebook chaque jour, 7 millions à YouTube et 4,5 millions à Snapchat.

Les 15-24 ans préfèrent Snapchat, Periscope et Instagram tandis que les 50 et plus préfèrent Google+, Facebook et YouTube.

Par ailleurs, 9,5 millions de Français se divertissent avec des jeux sur smartphones "soit plus que sur n'importe quelle console du marché":"le smartphone devient la Gameboy des jeunes générations".

Favori des 50-64 ans, le jeu de cartes Solitaire attire 320.000 visiteurs chaque mois, les 25-49 ans lui préférant Candy Crush (2,3 millions de visiteurs uniques) et les 15-24 ans "Pokémon Go" (4,8 millions de visiteurs uniques en août, en baisse depuis).

Les messageries instantanées remportent également du succès avec près de 30 millions de visiteurs uniques par mois, notamment Skype (20,5 millions), Facebook Messenger (11,3 millions) et WhatsApp (9 millions).

Au total, près de 88% de la population française de plus de 15 ans (45,7 millions de personnes) est internaute, et 18,9 millions de Français utilisent deux ou trois écrans (smartphone, ordinateur ou tablette).

Source:linternaute.com

Lisez le texte et répondez par VRAI ou FAUX:
  1. 80% des Français utilisent les réseaux sociaux chaque mois
  2. Les réseaux sociaux servent à partager des contenus comme des articles ou des vidéos
  3. Les Français se connectent sur leurs ordinateurs portables
  4. Le réseau social le plus populaire en France c'est Snapchat
  5. Les Français jouent sur Internet peu fréquemment
  6. La messagerie instantanée la plus populaire c'est WhatsApp
  7. Plus de la moitié des Français utilisent deux ou trois types de connexion 
Chez vous, on se comporte comme les Français? Quelles sont les différences?

lundi 7 décembre 2015

Les mots de passe sur Internet

Que choisir comme mot de passe ? La plupart des internautes se sont déjà posé cette question. Et rares sont ceux qui optent finalement pour une combinaison compliquée, par peur de l’oublier. C’est ce que révèle une étude américaine, publiée par Information Week.


Grâce à l’analyse statistique d’un fichier de 28.000 mots de passe récemment volés par un pirate sur un célèbre site américain, on a pu constater que les internautes optent le plus souvent pour la facilité…

Ainsi, 16% d’entre eux utilisent leur propre prénom ou celui d’un de leurs enfants comme mot de passe, et 14% choisissent un moyen mnémotechnique banal comme les premiers chiffres du clavier numérique ("1234" ou "12345678") ou encore les six premières lettres du clavier alphabétique ("AZERTY" ou "QWERTY" selon les claviers).

D’autres internautes, représentant 5% du panel, optent pour le nom d’un héros, d’un film ou d’une série télévisée à la mode comme "Matrix", "Pokémon" ou encore "Ironman".Pour d’autres, les simples mots "Yes" ou "No" font l’affaire !


Enfin, 4% des internautes de l’étude semblent avoir cruellement manqué d’imagination puisqu’ils se sont simplement contentés du mot "password" !


Selon l'étude, pour être efficace et proteger des inconnus, un mot de passe doit comporter "au moins huit caractères, une lettre en capitale et un symbole ou chiffre".

source: lepetitjournal.com


Et vous, à quel type d'internautes appartenez-vous?

jeudi 22 janvier 2015

Les réseaux sociaux

Cliquez sur l'image pour faire quatre exercices (cliquez en bas à gauche dès que vous aurez fini chaque exercice)

vendredi 24 octobre 2014

Hara-kiri virtuel

La course aux « like »

80 « like », apprend-on de source informée, constituent un score honorable. Mais 5 pauvres commentaires (dont un du grand frère, la honte…) confinent au hara-kiri virtuel. 

Il ne reste qu’à poster en urgence une photo « en soirée » .L’idée étant de suggérer que l’on vit des moments d’exception, par exemple, dans une boîte quand on n’a pas les 16 ans requis en boîte de nuit. Mais la photo de vacances en famille n'est pas une option valable.

Les parents novices en la matière, toujours prêts à brandir les devoirs bâclés, sont tentés de juger dérisoire cette addiction, quasi générale entre 13 et 16 ans, à la nano-célébrité.

Source: madamelefigaro.fr


Lisez le texte et répondez aux questions:
  1. Où peut-on trouver des "like"?
  2. D'où vient le mot " hara-kiri"? 
  3. À quoi fait-il référence dans le texte?
  4. C'est quoi la nano-célébrité?
  5. Est-ce que les ados sont compris par leurs parents?
Pour Vérifier vos réponses, cliquez sur Commentaire.

mardi 4 juin 2013

Internet: un accès efficace au savoir?

Nombreux sont les personnes qui vous disent que grâce à Internet on peut tout savoir. Dans le fond c’est vrai. Mais avant Internet on pouvait aussi tout savoir, seulement les efforts pour y avoir accès étaient énormes. Mais connaissons-nous réellement plus de choses grâce à Internet ? 

Avant l’arrivée d’Internet, lorsque vous vouliez apprendre quelque chose, connaître une information vous deviez fournir un effort (vous déplacer à la bibliothèque, aller acheter un journal ou un livre, ouvrir un dictionnaire ou même sortir pour discuter avec d’autres personnes…). Il fallait une vraie raison ou une soif d’apprentissage certaine pour dépenser cette énergie.

Le web c’est exactement le contraire. L’accès à l’information est simple, très simple même mais la profusion d’informations ne vous simplifie pas la mémorisation. Une information vous entraîne vers une autre information etc.

Le web a simplement, et c’est énorme, détruit les barrières sociales qui vous permettaient ou non d’accéder au savoir. Auparavant, si vous n’aviez pas eu cette éducation d’aller le chercher et bien vous ne l’aviez tout simplement pas. Maintenant vous pouvez l’avoir sans qu’on vous ait appris comment faire.

Source: paperblog.fr

Lisez le texte et répondez aux questions:
  1. À votre avis, est-il beaucoup plus facile de mémoriser quelque chose lorsque cela a été le fruit d’un effort voulu? 
  2. Trouvez-vous que ne pas être concentré (le cas d'internet) sur une information à la fois peut difficulter le stockage de l'information dans la mémoire?
  3. L'accès au savoir depend-il d'une éducation préalable?

jeudi 7 février 2013

La tendance « spotted » : je drague et je tag

Qui n’a jamais été frustré après avoir croisé la fille ou le garçon de ses rêves dans un bus, une bibliothèque, ou le couloir de la fac ? Un regard, une main dans les cheveux… et c’est le coup de foudre. Mais comment l’aborder ? C’est mission (presque) impossible. Presque car désormais, il y a Spotted.

« To be spotted » : expression anglaise signifiant « être repéré ». Ici, rien à voir avec les services secrets, le terme est plutôt devenu le principe même de ces pages Facebook qui fleurissent de jour en jour, principalement au cœur des universités européennes.


Phénomène nouveau, il s’étend partout en Europe : les créateurs y expliquent que leur leitmotiv est de donner un peu de gaité et de réconfort dans le cadre de la fac, de moins en moins fun.

Le principe est simple : vous envoyez un message aux administrateurs du groupe, décrivant la cible repérée, l’heure, le lieu, de façon originale… Le message est publié anonymement, et si cette personne suit également la page Spotted, vous avez peut-être une chance qu’elle se reconnaisse. Bien entendu, les administrateurs ne fournissent pas de service après-vente. On dira que « Spotted » marche un peu comme les petites annonces du cœur que l’on retrouvait parfois dans les journaux d’antan. Sauf que là, l’attente est évidemment moins longue et le flirt est à portée de clics.

Aussi, sur les pages des diverses facultés, l’ambiance est légère et créative. Sur le Spotted USAL, de la faculté de Salamanque, les déclarations vont bon train : "Très belle fille, tu as les cheveux bruns. Tu étais à la Bibliothèque de Las Conchas et tu portais une écharpe rouge. Je me suis perdu dans tes yeux quand tu m’as demandé l’heure… qui es-tu ? On peut se revoir pour prendre un café ?".


Pour qui ? Tous les étudiants, qui ne sont pas des dragueurs invétérés au point d’aller demander direct son 06 à quelqu’un. Pour les timides. Pour les poètes. Pour les étudiants en mal de rencontres pendant les révisions.
Pour quoi ? Rencontrer l’amour. Non, trêve de plaisanterie, pour essayer de prendre un café avec le mec ou la fille qui nous a fait craquer pendant qu’on fichait nos cours de sociologie, ou au moins savoir comment il/elle s’appelle, parce qu’on a parié sur son prénom et que ça nous triture l’esprit.
Une nécessité ? Si le phénomène s’étend à ce point, sûrement. La problématique touche tout le monde. Dans la rue, au boulot, au supermarché, l’amour nous guette partout ! Spotted vous donne juste la possibilité de mettre un nom sur ce mec qui vous épie derrière le rayon frais ou cette fille qui vous fixait à la machine à café.
Phénomène croissant, utile, drôle, Spotted est-il efficace ? On ne le sait pas encore.

Source: cafebabel.fr

DITES SI CES AFFIRMATIONS SONT VRAIES OU FAUSSES:
  1. Spotted permet de vous mettre en contact avec un(e) inconnu(e) qui vous plaît.
  2. L'inconnu(e) sait qu'il/elle est le/la destinataire de votre message.
  3. Les universités européennes sont de plus en plus amusantes pour les étudiants,
  4. On peut publier le message tout directement sur le site.
  5. On reçoit toujours une réponse.
  6. Ce genre de messages existait déjà sous un autre format.
  7. Spotted est créé pour tous les étudiants.
  8. Spotted devrait s'étendre à d'autres domaines de la vie.

Pour vérifier, cliquer sur Commentaire.