Nikita, Léon, Le Grand Bleu ou encore Da Vinci Code, vous avez forcément eu, un jour ou l’autre, la chance de voir Jean Reno à l’écran.
Né en 1948 à Casablanca (Maroc) de parents espagnols, Jean Reno, ou Juan Moreno y Herrera-Jimenes de son vrai nom, suit des cours au Conservatoire de Casablanca avant de s’installer à Paris.
C’est en 1980, alors qu’il obtient le rôle du lieutenant Zag dans Les bidasses aux grandes manœuvres, que sa carrière va prendre un virage inespéré. En effet, l’assistant-réalisateur de ce long métrage n’est autre que Luc Besson, qui n’est pas encore très connu à l’époque, mais qui a déjà sa place dans l’industrie du cinéma français. Sur le plateau, c’est le coup de foudre entre les deux hommes qui s’entendent à merveille , à tel point que Jean Reno se voit proposer plusieurs rôles dans les productions à venir du réalisateur montant.
Les apparitions de Jean Reno et l’importance de ses rôles vont crescendo, jusqu’en 1988 où Luc Besson lui propose un rôle dans Le Grand Bleu, un chef d’œuvre du cinéma français .. C’est la consécration pour l’acteur qui y trouve finalement une reconnaissance assez tardive, puisqu’il a 40 ans. Depuis, il a tourné 80 films.
Suite à ce succès, les tournages s’enchaînent. Il tient l’un des rôles principaux dans Nikita ou encore Les Visiteurs dans lequel il incarne un chevalier moyenâgeux propulsé dans les années quatre-vingt-dix pour sauver sa descendance d’un infâme sorcier. Cette comédie sans grande prétention fait un carton en France.
En 1994, Luc Besson propose à Jean Reno d’incarner le premier rôle de son long métrage, Léon. L’acteur prend les traits d’un tueur à gage sans cœur qui recueillera une jeune fille nommée Mathilda, seule rescapée du meurtre de sa famille, et en fera une tueuse pour lui permettre de venger la mort de ses proches.
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