Près des trois quart des jeunes français de 13-17 ans sont aujourd’hui inscrits sur Facebook et comme toujours, quand un phénomène de mode touche la jeune génération, les médias s’inquiètent des dangers qui en découlent : zone de non droit, où tout est permis, temple du langage SMS, des amitiés faciles, des discussions en ligne avec des inconnus, de l’atteinte à la vie privée et de la pensée unique. En bref, Facebook, c’est le mal.
On en oublierait presque qu’il s’agit d’abord d’un outil de communication, d’un réseau social devenu banal dans l’usage que nous avons aujourd’hui d’Internet et dont les règles et les risques sont à apprendre et pourquoi pas à enseigner. Peut-être que l’école a un rôle à jouer et pourquoi pas dès le primaire.
Source: vidberg.blog.lemonde.fr
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